Mon bébé Eric

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il y a 4 ans

Ce soir-là, j'avais envie de faire l'amour. Depuis ma séparation avec Jingu, le beau thaïlandais qui a partagé ma vie pendant 4 ans, je n'ai pas fait grand- chose. Quelques coups de queue ici ou là mais le coeur n'y est pas. Je décide de repartir pour une nuit ou plus si affinités, de me remettre... sur le marché du sexe et de l'amour. Je me connecte sur le tchat gay le plus populaire du moment.

Sur ma présentation, je ne triche pas sur mon âge, j'indique rechercher un mec entre 25 et 30 ans. Les réponses du style : " désolé, trop vieux.. " pleuvent.

Déprimant.. Je suis sur le point de quitter le réseau et le marché lorsqu'un signal annonçant un message apparaît. Je clique et je lis : " Salut, moi c'est Eric 20 ans, je cherche un homme mur et stable pour une relation sincère et changeante ". Je ne comprends pas le dernier terme (qu'est-ce qu'une relation changeante ?) mais sa description - 1,75, blond, yeux verts, mince - et la pic m'incitent à poursuivre. Il est très mignon et malgré son jeune âge, il fait mec. Le dialogue s'engage. J'apprends qu'il est étudiant en 1er année de gestion, qu'il est financièrement autonome et qu'il veut une relation avec un mec plus âgé que lui parce que ceux de sa génération " ne pensent qu'à baiser ".

Tout cela me plaît. Nous nous téléphonons. Il a une belle voix grave, très masculine. Je me demande s'il a vraiment 20 ans ou s'il est rajeuni. On décide d'une rencontre. On habite loin l'un de l'autre mais il préfère se déplacer. Le rendez-vous est fixé dans un sushis bar près de chez moi. Il arrive à l'heure convenue et se dirige directement vers moi alors qu'il n'a pas vu ma pic. Il correspond à la photo et en plus, il a beaucoup de charme. Spontanément, il me fait la bise. On commande un sushis pour deux et on discute. Il porte un jeans large et son t-shirt blanc à rayures porte la griffe d'une marque de vêtements pour e n f a n t s, de même ses tennis sont d'une marque pour a d o l e s c e n t s. La contradiction entre le coté " mek " qu'il se donne et son look d'e n f a n t est assez craquante. Il se dit timide mais dès qu'on a avalé nos sushis, il me dit : " on va chez toi !".

Dans ma chambre, je le déshabille lentement. Son slip - bien gonflé - est aussi d'une marque pour e n f a n t s et a d o l e s c e n t s. Je lui demande ce qu'il aime, s'il est actif ou passif. Il me répond qu'il ne sait pas car il n'est jamais allé jusque là mais qu'il aimerait bien être pris. A f o r c e de le caresser, je bande comme un taureau. Pour sa première fois, j'essaie de ne pas lui faire mal. Je ne lésine pas sur le gel. Je le pénètre difficilement. Il râle de plaisir et quand il est dépucelé, il crie comme un bébé. Il se branle pendant que je le défonce. On jouit en même temps. On reste ensuite de longues minutes l'un contre l'autre.

J'espère ne pas lui avoir fait mal : il y a un peu de s a n g mêlé au sperme sur les draps. Il demande à dormir avec moi, prétextant l'heure tardive. Le lendemain, à mon réveil à 6 h 30, le lit est vide. Eric est parti sans bruit. Le reverrai-je un jour ?

Surprise, à 18 h 00 alors que je suis en réunion, un SMS arrive : " Je veux que tu viennes chez moi ce soir, Eric ". Ce ton péremptoire m'amuse. Il me fait penser à la chanson de Brel, " les timides " : " Mais les timides un soir d'audace mettent leur cuirasse et alors là... ". En fait, j'ai attendu toute la journée un signe. " D'accord, à 21 h ". A 20 h 30, je m'échappe de la réunion soporifique des anciens de mon école pour filer chez Eric. Quand il ouvre la porte, il est en jeans, torse et pied nus.

Salut, me dit-il avant de me rouler une pelle.

Son petit deux-pièces semble agréable. Nous sommes dans la pièce cuisine-salon-salle à manger, encombrée de livres et de CD. Il y a peu d'espace pour bouger.

Viens dans la chambre, on sera mieux !

Il m'entraîne dans la deuxième pièce, sa chambre. J'entre et là, surprise. Au milieu, il y a un lit à barreaux, un parc à coté et au fond, un petit meuble avec un matelas : une table à langer. Sur une commode, plusieurs biberons et des vêtements d'e n f a n t s. Plusieurs paquets de couches sont au sol le long du mur.

Je reste bouche bée, incapable de parler pendant un temps qui me paraît infini..

Toi, tu, euh tu as un bébé ? ?

Non, me dit-il le plus tranquillement du monde, le bébé, c'est moi..

Je ne comprends rien et je me demande si j'ai bien entendu. Eric enlève son jeans et il apparaît avec une couche autour de la taille. La vue de ce grand et beau garçon avec une épaisseur de couche me plonge dans un état second.

Qu'est ce que c.. dis-je en ayant du mal à articuler mes mots. Je suis partagé entre l'envie de fuir et celle de comprendre.

Ben, c'est une couche. Les bébés portent des couches, tu ne sais pas cela..

Qu'est-ce que tu racontes ! ! ! ?

Ecoute, me dit-il, en me poussant vers un fauteuil à bascule, je vais t'expliquer. Je suis devenu un bébé à l'âge de 16 ans..

J'ouvre de grands yeux. Il fait les cent pas devant moi et ses fesses enveloppées dans sa couche passent à la hauteur de mes yeux.

Hein ! ! !, Ma mère est morte peu de temps après ma naissance. Mon père nous a élevé, ma soeur - qui a alors 8 ans - et moi. Seulement, comme je venais juste de naître, il m'a confié pendant mes 4 premières années à toute une série de nourrices et de baby-sitter. Elles ont sûrement bien fait leur travail, techniquement parlant. Mais f o rc é m e nt , elles n'y ont pas mis l'amour d'une mère. Elles n'ont pas été très " pamper " avec moi. Tu sais ce que cela veut dire ?

Oui, euh non en fait.

En anglais, cela veut dire s'occuper de, choyer, dorloter, tu comprends ?

Oui mais...

Dès l'âge de 5 ans, j'ai un sentiment de manque dans ma vie mais, évidemment, je ne comprends pas de quoi il s'agit. Un jour, à 16 ans, je rends visite à ma soeur qui a 24 ans. Elle est avec un mec depuis 2 ans et a accouché quelques semaines plus tôt d'un petite garçon. Quand j'arrive, le nourrisson braille un maximum. Ma s?ur est en train de changer ses couches. Elle a des gestes tendres pour lui soulever les jambes, nettoyer ses fesses, le talquer et lui mettre une couche propre. A quelques semaines, un nouveau-né, c'est une petite larve braillante et pourtant il a des réactions. Au fur et à mesure que ma soeur progresse dans l'opération de change, elle le caresse et lui parle. Il crie moins fort et son visage se détend.

J'écoute ce récit sans vraiment l'entendre. Eric semble revivre cette scène fondatrice. Ses fesses enrobées par sa couche passent devant mes yeux comme des balles de tennis à Roland Garros.

Quand elle eut terminé de le changer, elle me dit " tu peux me le tenir cinq minutes, le temps que je prépare son biberon ". Et elle me colle la larve braillante dans les bras. Je n'avais encore jamais porté de bébé. J'ai eu peur de le laisser tomber. Je l'ai serré contre moi en lui tenant la tête. Il criait toujours mais au plus je lui faisais des câlins en lui tapotant les fesses, au plus il avait l'air apaisé. Quand ma soeur est revenue avec le biberon, il ne pleurait plus mais gazouillait pour signifier qu'il avait faim. " Tu es un grand frère parfait " me dit-elle, donne lui donc la tétée " et elle me mets le biberon chaud entre les mains. Je n'ai plus que mon bras gauche pour tenir le bébé. Je n'arrive pas à lui mettre le biberon dans la bouche, tellement il bouge.

Je commence à être dans un état second.

Eh bien, poursuit Eric, spontanément, je lui ai chanté une chanson. Il s'est arrêté de bouger et a tété goulûment son biberon jusqu'à la fin. Ensuite, je l'ai un peu bercé et il s'est endormi. " Je t'engage comme nourrice " m'a dit soeur en riant.

Et alors ?

C'est là que j'ai eu le déclic. J'ai compris que mon problème, le manque que je ressentais depuis 10 ans était que personne n'avait été " pamper " avec moi. Pour les nourrices et les baby-sitter, je n'avais été qu'un tube digestif qu'on alimente par le haut et qu'on vidange par le bas. Bref, je n'avais pas vécu une vie normale de bébé. Et cette vie-là, je voulais la vivre, même avec un peu de retard.

J'entrevoyais les intentions d'Eric mais je ne voulais pas y croire.

C'est ainsi que je suis devenu un bébé à 18 ans.

Chapitre 2 : Le psy en tient une couche

J'étais partagé entre l'envie de rire et celle de partir en courant. Mais, la curiosité l'emportât.

J'ai commencé dit Eric par acheter des biberons, des sucettes et tout un matériel de puériculture.

Et des couches ! dis-je en voyant ses fesses enveloppées.

Bien sur des couches. Heureusement que je suis assez mince. Les couches et les culottes plastiques pour les bébés de 2 ans me vont bien. Je dois faire attention car je suis encore chez mon père. Je planque toutes les affaires. Je commence à mettre une couche le soir pour dormir. La première fois, j'ai ressenti une sensation extraordinaire de bien être et de sécurité, comme si, protégé par ma couche, rien ne pouvait m'arriver. Mais, dans la nuit, tu fais... bref, tu te comportes comme un bébé ?

Comment, comme ! ! Cette nuit-là, je deviens Un bébé. Oui, je mouille et salis ma couche.

Et après ?

Le matin, je l'enlève et la fait disparaître. C'est bien mais mon but, c'est que quelqu'un s'occupe de moi, me change, me donne le biberon, enfin me " pampérise ".

Un jour, avec mon père, on doit prendre un train assez tôt le matin pour aller sur la tombe de ma mère. Je traîne au lit avec ma couche mouillée en rêvant que quelqu'un vienne me prendre dans ses bras et m'amène sur la table à la langer pour me nettoyer les fesses, me talquer, me mettre une couche propre et me donner le biberon du matin. Ces douces pensées me font un peu bander. Mais, à un moment, la porte de la chambre s'ouvre et ce n'est pas pour une séance de change. C'est mon père. " Debout, on va être en retard " dit-il et accompagnant le geste à la parole, il retire les draps et la couverture qui me recouvrent et me voit avec ma petite brassière, ma sucette à la bouche, mes chaussons de laine et ma couche.. Je crois qu'il va avoir une attaque.

Que se passe-t-il ?

Pendant un moment, il me regard, incapable de parler, bredouillant comme toi :

Qu'est-ce que....

Puis il sort, reste prostré un moment avant d'aller téléphoner. Pendant ce temps, je me change, enfin, je veux dire, j'enlève ma couche sale, planque la sucette et tout le reste pour me déguiser en mec - jeans polo, boots - et vais voir mon père. " C'est drôle comme jeu... ".

Que répond-il ?

Demain, tu iras voir Jean-René P.. ..

C'est un psychiatre, pédopsychiatre exactement de ses amis. Je vais chez le pédo-machin avec l'idée de faire semblant de le convaincre que c'est un simple jeu sans conséquence et que bien sur mes couches restent propres. En fait, en jouant cette comédie, je veux qu'il conclut que j'ai un problème qu'il faut résoudre par de l'aide, bref qu'il me trouve un ou une " pamper ". Je lui raconte donc que j'ai eu l'idée de jouer au bébé en voyant celui de ma s?ur. Comme je l'espère, il en déduit que je souffre d'un manque d'affection que j'exprime à travers cette régression. C'est une réaction très classique, sauf qu'elle se produit généralement vers 6 ou 7 ans et le plus souvent à la naissance d'un autre e n f a n t dont l'aîné est jaloux de l'attention qu'il focalise de la part de ses parents.

C'est en effet assez classique...

Oui, mais dans mon cas, c'est un diagnostic à 2 balles. Il me prescrit un traitement psychomotrique et m'envoie un psychomotricien parce qu'il pense que l'importance de mon déficit affectif m'a fait perdre les mécanismes physiologiques de la maîtrise. Le premier jour, le psychomotricien me fait un discours sur la nécessité et la dignité d'être propre. Je fais semblant de ne pas tout comprendre. A la fin de son numéro, il me dit que, pour ce soir, il serait plus prudent de mettre une couche.

Pour te montrer que jouer au bébé n'est pas très agréable, je vais te mettre moi même une couche et une culotte en plastique dit-il.

Je crois exploser de joie mais je fais semblant d'avoir honte. Quel pied, pour la première fois, je suis langé par quelqu'un et en plus, il fait cela très bien, très " pamper attitude "..

Raconte,..

Il mets une grande serviette de bains sur le lit et m'y allonge. Il défait mon jeans, enlève mes baskets et mon slip. Il me regarde en faisant des " Areuh, areuh Eric " pour se moquer de moi alors que je suis au nirvana. Il me soulève les jambes pour regarder mes fesses. Bon, pas d'accident, mais par précaution, un peu de talc pour cette nuit dit-il..

Il glisse une couche sous mes fesses. Tu n'as pas idée du plaisir que je ressens lorsqu'il répand du talc sur mon ventre, mes parties et mes fesses.. Quand il referme la couche, je commence à bander mais il ne le voit pas. Je rougis de plaisir, ce qu'il prend pour de la honte. Ensuite, il me mets un nouveau pyjama qui s'ouvre par derrière, " pour faciliter le change en cas d'urgence " dit-il en riant.

Bon, maintenant, tu vas dormir .

Mais, le mieux, c'est quand il ajoute, Demain matin, je changerai ta couche si elle est mouillée ou sale Là c'est l'extase et je sens, à l'intérieur de ma couche, que je bande un max. Il me mets la sucette à la bouche et sort.

Et le lendemain, il a du te changer ?

Un peu oui. Si j'ose dire, je me surpasse cette nuit-là. J'avais pris de f o r c e le biberons d'eau et de lait. Alors, le matin, la couche est mouillée et sale à déborder. Je ne dors pas beaucoup cette nuit-là mais quand il arrive, je fais semblant. C'est un mercredi et il n'y a pas lycée. Croyant que je dors, il soulève les draps, tâte ma couche et murmure :

Le vilain bébé qui a sali ses couches, je vais devoir le changer.

Je prends un air honteux tout en me préparant à une nouvelle extase. Il enlève mon pyjama, étale la serviette sur laquelle il me fait allonger. Il ouvre la couche et n'est pas déçu du voyage. C'est la couche la plus mouillée et la plus souillée que j'ai faite depuis que je suis bébé. Il ne laisse rien paraître, retire la couche en me soulevant les fesses, la replie pour la mettre dans un sac.

Bon, il va falloir nettoyer ce sale petit bébé.

Et là, pendant un temps qui me parait délicieusement long, il me nettoie les fesses, la queue avec des lingettes imbibées d'eau, il me tourne et me retourne. Je recommence à bander. Mais, comme mon érection est assez faible, il croit que c'est une manifestation de mon processus régressif.

Ah, quand on ouvre une couche, il y a toujours des manifestations ! ! Il me passe une pommade anti irritation et me mets du talc avant de remettre une couche propre.

Et voilà, bébé Eric est propre dit-il.

Je suis aux anges. Sans s'en rendre compte, il est entré dans mon jeu. C'est la première fois que je suis changé le matin, choyé et pamperisé.

Allez, maintenant au biberon, conclut-il.

Je désespérais de ne jamais entendre une phrase comme celle-là. Mais je dois faire semblant de faire de la résistance.

Tu rigoles, je prends mon petit-déjeuner habituel.

Non, un bébé doit prendre un biberon.

Tu n'y connais rien, à 6 mois, le gosse de ma s?ur prend autre chose.

Oui, mais toi, tu es encore trop petit.

Je comprend alors sa stratégie. Il veut me mettre dans le stade ultime du processus régressif, celui de nourrisson, larve braillante sans autonomie afin de provoquer en moi une réaction de honte. Je réalise alors qu'en jouant finement, je peux bénéficier d'une pampérisation maximale. Il me passe rapidement un t-shirt et m'entraîne vers la cuisine où il m'installe sur une chaise haute à barreaux. Pour la première fois, je me suis baladé en toute impunité en couche dans l'appartement. Il me prépare un biberon énorme et me met sur ses genoux pour me donner la tétée. Je fais semblant de refuser, bouge la téte pour éviter la tétine, du lait coule sur mes joues et mon bavoir. Plus je résiste, plus il me câline en tapotant mes fesses, si bien que je finis par téter goulûment. A la fin, il me félicite. A ce moment là, j'ai envie de mouiller ma couche pour bénéficier d'un nouveau change. C'est alors qu'il me dit :

Maintenant, c'est l'heure de la toilette du bébé.

Nouvelle fausse résistance de ma part :

Je peux prendre une douche ! !

Depuis quand, les bébés prennent-ils des douches ?

Il m'entraîne vers la salle de bains où je remarque un petit meuble avec un matelas dessus et des tiroirs en dessous qui n'était pas là la veille. C'est une table à langer. Il tire une rallonge et déplie le matelas. Ainsi, elle est adaptée à ma taille. Il m'allonge sur le dos, sort des tiroirs plusieurs flacons et des lotions de toilette pour bébé. Après m'avoir déshabillé et ouvert ma couche, il passe un long moment à me frictionner le corps, y compris les burnes et la queue, ce qui me provoque un début d'érection que je cherche à contrôler. J'en profite pour lui faire remarquer que l'après-midi, je dois aller à la piscine pour l'entraînement préparatoire au challenge inter lycée et que, bien sur, je ne pourrais pas y aller en couche.

Je t'accompagnerais pour enlever ta couche avant l'entraînement et te la remettre après.

Le super-pied, je vais sortir en couche.. Evidemment, je fais semblant de grimacer. Il finit ma toilette en m'enveloppant dans une serviette éponge et commence à remettre la couche. Au moment où il l'a referme, je ne résiste pas au plaisir de la mouiller copieusement en prenant un air aussi neutre et inconscient que possible.

Ah zut dit-il comme si je n'étais pas là. Et il me change une nouvelle fois, me remet un t-shirt, une culotte en plastique et des chaussons de laine.

Maintenant, au lit.

Il me porte jusque dans mon lit, me met la sucette dans la bouche et me berce.. Au bout de 5 minutes, je fais semblant de dormir. Il sort.

Je fais mes " comptes " : on est à peine en milieu de matinée et j'ai déjà été changé trois fois. Jamais dans mes rêves les plus fous, je n'avais imaginé un scénario aussi extraordinaire. Vers midi, mon motricien revient. Je suis réveillé ou plutôt, je n'ai pas dormi, la sucette est tombée, je suce mon pouce et j'ai consciencieusement sali ma couche. Il tâte mes fesses et en conclut à la nécessité de procéder à un change. Retour sur la table à langer : nettoyage, pommade, talc, etc.. Ensuite, il m'amène à la cuisine pour le déjeuner. Au menu : biberon, blédine et petit-pot. Je fais des difficultés et comme on dit familièrement, j'en mets partout, mon bavoir est de toutes les couleurs. Mon motricien est d'une patience infinie.

Pour aller à la piscine, il m'habille en mec : sweat-shirt long et jogging large pour dissimuler la couche et baskets. Arrivées à la piscine, il m'entraîne vers le vestiaire des maîtres-nageurs, m'allonge sur le sol pour me déshabiller, enlever ma couche mouillée et me mettre le maillot de bains du club.

Ca ira ? demande-t-il.

A la fin de l'entraînement, je suis propre. Je prends un air hypocritement fier pour dire :

On peut attendre d'être à la maison pour la couche.

Ah non, tu es resté plus de 3 heures sans protection et en plus tu as bu pendant les pauses.

Retour aux vestiaires des maîtres-nageurs pour une mise en couche. Pendant le trajet du retour, je prends soin de mouiller et salir ma couche - la totale ! -, ce qu'il remarque.

Tu vois, j'avais raison dit-il.

Et voilà, comment je gagne une nouvelle séance de change sur la table à langer. Après le biberon de 4 h (en fait il était 5 h), il m'installe dans la chambre pour la révision de mes cours de maths. Il revient vers 20 h, constate l'humidité de ma couche, procède au change et m'amène au dîner. Celui-ci - soupe de légumes, petit pot arrosé d'un biberon - se passe avec ce qu'il faut de projection de légumes et de lait régurgi. Une heure après, c'est l'apothéose de la journée : séance de change pour une couche de nuit et mise en grenouillère.

Dans mon lit, en suçant mon pouce, je fais le bilan de ma journée : 9 couches et 8 séances de change. Depuis ma " naissance ", c'est un record. Mais, ce qui m'attend à partir de demain risque d'être encore plus excitant.

Pour le collège, un dispositif particulier a été prévu. Je ne suis plus demi-pensionnaire mais externe. Je dois rentrer à la maison pour déjeuner. Le matin, après les étapes obligatoires - change au réveil, biberon et toilette - mon motricien me mets une couche et m'habille en mec en veillant à dissimuler la chose. Au retour du collège, il me change la couche du matin mouillée et sale. Après le déjeuner, il me change à nouveau avant le retour au lycée. A la fin des cours de l'après-midi, nouveau change et biberon de 4 h ou 5 h, selon l'heure de la fin des cours. Je suis à nouveau changé avant le repas du soir et bien sur avant le départ du long courrier de la nuit. Ainsi, chaque jour, je suis changé au mois 6 fois. Pas mal pour un bébé qui va au lycée. Parfois, je m'amuse à mouiller ma couche sur le chemin du retour au lycée après le déjeuner, ce qui oblige à un change discret à l'arrière de la voiture. Mais, le mieux, c'est le mercredi avec la piscine, les week-ends et les vacances scolaires. Là, non seulement, j'ai droit à un change de plus dans la matinée et l'après-midi, mais en plus je suis habillé avec mes vêtements de bébé et je peux garder ma sucette. Tu n'as pas idée comme c'est apaisant de réviser ses cours en couches avec un body, des chaussons de laine aux pieds et une totoche dans la bouche.

A la fin de l'année scolaire, mon père s'inquiète de mon évolution.

Il progresse un peu dit le psychomotricien. Au retour du lycée, sa couche est moins souvent sale et parfois à peine mouillée alors qu'après les biberons et les repas, elle l'est très vite et abondamment. Cela veut dit qu'il a conscience de son corps à l'extérieur dès lors qu'il est en milieu social. En revanche, il se relâche, à tous les sens du terme, au sein du cocon familial. Ce n'est pas un calcul de sa part mais un réflexe. Garçon à l'extérieur, bébé à l'intérieur. Il y a encore un gros travail psychologique à faire. Cette ambivalence a été accentuée par la préparation du bac français. Cette épreuve est une sorte de rite initiatique pour le passage à l'âge adulte. C'est une source d'angoisse. Pour la calmer, il avait besoin de retrouver ses repères et un univers rassurant. Il compensait les contraintes de l'épreuve par une accentuation de son état régressif dès qu'il revenait à la maison. Dans ces moments là, il prenait plus facilement ses biberons et ses couches étaient plus fréquemment souillées, nécessitant des changes plus fréquents.

L'évolution est-elle normale ? demande mon père.

Oui, compte tenu de son taux de régressivité au moment où je l'ai pris en charge. Il était au niveau 1, le plus bas.

Ce qui correspond à...

Celui d'un nourrisson de quelques semaines qui n'a aucune conscience de son corps. Physiologiquement, c'est un tube digestif, nourri par le haut, vider par le bas.

Et maintenant, où en est-il ?

Hors période de stress, il est entre le niveau 2 et 3, celui d'un bébé qui a conscience de son corps et des mouvements mais n'a pas la maturité psychologique et encore moins physiologique de se contrôler.

Comment peut-il évoluer ?

Si tout se passe bien, l'an prochain, il sera au niveau 3, c'est-à-dire au stade de la conscience apprentissage. Il alternera propreté et accidents. En pratique, il portera des culottes d'apprentissage dans la journée et des couches classiques la nuit.

La préparation du bac ne va-t-elle pas le ramener vers son univers régressif ?

Il aura des accidents mais rien d'irréversible.

Comme il était prévu au protocole, je vais consulter le pédopsychiatre pour faire un bilan. Il me fait beaucoup parler de mes relations avec le motricien, mon père, mes profs, mes copains. Son objectif est d'évaluer mon degré de honte et de culpabilité. Je lui explique être conscient des difficultés créées par ma situation. Il m'interroge aussi sur mon petit neveu. Le piège est gros comme une maison : apparaître jaloux de ce bébé. Je lui dit que j'aime bien ce gosse et m'en occuper en jouant avec lui. A la fin de l'entretien, il me demande de sortir et fait entrer mon père. A travers la porte, j'entends leur conversation.

Bon, j'ai eu un rapport du psycho-motricien. Ton fils progresse sur le plan psychique. Il faut compléter le travail du motricien par un travail physiologique. Il a conscience de sa perte de maîtrise mais n'a plus les réflexes du contrôle. Il doit les réacquérir. Pour les vacances, je vais t'envoyer un aide-éducateur, un jeune homme de 23 ans qui travaille avec moi dans mon centre pour e n f a n t s handicapés et débiles légers.

Mais Eric n'est ni handicapé, ni débile !

D'un point de vue physiologique, c'est un handicapé. Ceux dont s'occupe l'aide-éducateur ont le même problème.

D'accord, mais pourrais-tu envoyer une jeune femme ?

Pourquoi, tu as aussi besoin qu'on s'occupe de toi pendant les vacances ! !

Non, mais tu comprends, avec tous ces hommes qui s'occupent de lui en lui changeant ses couches, et tripotant ses parties génitales, il ne faudrait pas qu'en plus, Eric devienne pédé ! !

Justement, avec des jeunes filles ou des jeunes femmes, il aurait tendance à développer une relation maternante de par sa situation d'e n fa n t langé et donc choyé, ce qui favorise l'expression du complexe d'oedipe, toujours latent chez les a d o l e s c e n t s. En revanche, avec un homme, il construit une relation de f o r c e à connotation virilisante. S'il a progressé avec le psycho-motricien, c'est parce que celui-ci représente un référent masculin, figurant l'autorité paternelle. Il en sera de même avec l'aide-éducateur.

23 ans, c'est un peu jeune pour représenter l'autorité paternelle à un a d o l e s c e n t de 17 ans ! !

Ce n'est pas une affaire d'âge mais de représentation symbolique..

Mon père ne trouva rien à redire à cette sentence définitive. Le pédopsychiatre est extraordinaire. Il n'a pas plus vu que je préfère les mecs que le fait que je ne joue pas au bébé mais que je suis un bébé. J'en conclu qu'il avait du trouver ses diplômes dans une pochette surprise et qu'il " s'en tient une couche "

Chapitre 3 : Super Pampers !

Deux jours plus tard, à l'heure de mon réveil, je vois entrer dans la chambre mon psycho-motricien, suivi de quelqu'un que je ne vois pas.

Je te présente Jean-Etienne, il va s'occuper de toi pendant les vacances. Il est très gentil et il faut l'être avec lui.

L'autre se penche à son tour au dessus de mon lit, juste au dessus de ma tête. Dieu qu'il est beau ! Il a des cheveux bruns, très noirs, courts, un front large, des yeux foncés en amande, un petit nez légèrement retroussé, des traits et des lèvres fins et une bouche en c?ur.

Bonjour, me dit-il.

En plus, il a une voix douce et mélodieuse. Etre pamperisé par lui doit être du bonheur à l'état pur. Je retire la sucette de ma bouche.

Bonjour, moi c'est Eric..

Enchanté Eric, tu veux bien que je m'occupe de toi ? ?

Je pense en moi-même : " Un peu mon neveu et plus vite que ça ! ". Je fais signe que oui.

Alors, viens avec moi..

Joignant le geste à la parole, il me prends dans ses bras. Ses muscles se tendent. Il me soulève en me tenant par les fesses et donc ma couche et le dos. Une fois à coté de lui, je remarque qu'il n'est pas plus grand que moi mais beaucoup plus musclé.

Il regarde de haut en bas mon pyjama body bleu à rayures en jetant un regard furtif sur mes fesses qui, avec la couche, fait une grosse bosse.

On y va me dit-il, m'entraînant vers la salle de bains où il m'installe sur la table à langer.

Il me sourit gentiment. Pendant qu'il défait mon pyjama, je le regarde. Il est habillé d'un polo blanc avec un crocodile comme logo. Les boutons ne sont pas attachés, laissant entrevoir une petite chaîne en argent sur une peau bronzé, recouverte d'un duvet. Il a un torse large et des mains fermes. Son jeans moulant laisse deviner un corps droit parfait et un.. paquet appréciable. Il a fini d'enlever mon pyjama. Je suis allongé avec seulement ma couche et ma culotte plastique.

On va faire plein de choses pendant les vacances. Tu as bien mérité de t'amuser après avoir tant travaillé pour ton bac de français où tu as obtenu une si bonne note.

Tout en parlant, il enlève la culotte plastique et ouvre la couche qu'il replie, me soulève les jambes pour la retirer et regarde l'étendue des dégâts de la nuit.

Il paraît que tu es un bon nageur ! dit-il, tout en me nettoyant les fesses avec une lingette et en contrôlant l'avancement de son action.

Euh, oui, dis-je ayant du mal à parler en le voyant me changer de manière aussi experte, ferme et tendre à la fois.

Pour me nettoyer devant et à l'entrecuisse, il m'écarte les jambes plusieurs fois. Evidemment, j'ai un début d'érection quand il me nettoie la bite et la soulève pour laver mes burnes. Mais, en deux temps trois mouvements, je suis pommadé, talqué, séché et protégé dans une couche propre. Bingo, j'ai affaire à un expert viril et tendre. Plus pamper que lui, tu meurs. Il sourit d'un sourire ravageur.

Tu te sens bien, dit-il ?

Je suis en pleine extase, mon érection ne se calme pas dans la couche..

Allez, au petit-déjeuner !

Il dit " petit-déjeuner " et pas biberon. Il m'enfile un t-shirt et me soulève de la table à langer et m'entraîne vers la cuisine. Avec assurance, il prépare mon biberon dont il vérifie la température en versant une goutte sur le dos de sa main. Il me le tend... Il ne croit tout de même pas qu'il va échapper à la tétée ! Je me renfrogne. Il comprend et je me retrouve coincé entre ses cuisses puissantes, son bras dans mon dos et une main qui retient ma tête. Je téte sans faire de difficulté, sans régurgir, ni baver mais en prenant mon temps. C'est trop top ! Au milieu du biberon, il me le retire et me dit avec un clin d'oeil :

Tu veux des biscuits au chocolat ?

Voilà qu'il me fait le coup de la complicité. Evidemment, je joue le jeu et j'accepte. Il sort de son petit sac à dos - ce sont donc les siens - un paquet de biscuits avec un coté chocolaté. Il m'en donne deux en veillant à ce que je ne m'étrangle pas. Il reprend ensuite le biberon. Après quelques gorgées, je décide de " tester son autorité paternelle ". Je bouge la tête pour dire que je n'en veux plus et bave légèrement. Il retire la tétine et regarde le volume du biberon.

Ecoute, dit-il, je te donne un biscuit et tu reprends le biberon ! ! !

Là, c'est lui qui est tombé dans le panneau. Marché conclu. Je grignote le biscuit et il me remet le biberon à la bouche. De nouveau, après quelques gorgées, j'arrête d'avaler et régurgiter même un peu. Il retire la tétine, m'essuie la bouche. Il n'a pas de nouvelle proposition à me faire, ne pouvant renouveler le coup du biscuit. Va-t-il jouer la carte de l'autorité ? Regardant le biberon dont le niveau a diminué des ¾, il le prend à pleine mains et dit :

Il est froid maintenant. Donc, si tu n'en veux plus, on arrête.

Malin, Jean-Etienne ! Il avait trouvé le prétexte pour renoncer sans entrer en conflit avec moi mais sans perdre son autorité.. Posant le biberon sur la table, il dit d'un ton enjôleur :

Maintenant, la toilette !

Je remarque qu'il ne termine jamais ses phrases par " du bébé ", ou " le bébé " lorsqu'il s'adresse à moi. Dans la salle de bains, il m'installe à nouveau sur la table à langer, défait la couche toujours propre en la laissant sous mes fesses. Je ne sais pas si je prends mes désirs pour une réalité mais je vois une lueur de plaisir dans ses beaux yeux pendant qu'il me savonne le corps avec du lait bébé. Il le fait avec délicatesse, surtout lorsqu'il en arrive à ma queue et à mes couilles. Quand il m'entoure avec la serviette, j'ai un frisson de bonheur.

Voilà, tu es tout propre !

Pour terminer, il me passe de la pommade anti irritation sur les fesses et referme la couche. Je ne résiste pas au plaisir de la mouiller au moment où il commence à attacher les cotés.

Petit coquin, dit-il en ouvrant la couche.

Evaluant les dégâts, il ajoute : Heureusement que tu n'as pas fini ton biberon, sinon, c'était l'inondation .

Il retire la couche mouillée et m'en mets une nouvelle avec une dextérité incroyable et sort d'un tiroir une culotte en plastique qu'il m'enfile tout aussi prestement.

Dis moi Eric, si on faisait un peu de gymnastique. Avec les vacances, tu as arrêté l'entraînement de piscine et si tu ne fais pas un peu d'exercice, tu ne seras plus au niveau...

Jean-Etienne est décidément très intelligent. La gymnastique fait partie du programme de rééducation mais il me la présente comme une nécessité sportive. J'accepte car j'ai envie d'être tripatouillé par lui. Il me met un débardeur, style maillot de sport et s'apprête à me mettre mes chaussons.

Euh, non dit-il, il fait trop chaud pour les chaussons.

Il sort et revient avec des socquettes blanches et courtes.

C'est plus adapté à la gym. D'ailleurs, j'ai les mêmes dit-il en montrant ses socquettes dépassant à peine de ses superbes baskets rouges et noires, fermant avec des scratchs.

Le message est clair : tu es habillé comme un mec, tu dois tout faire comme un mekc.

Il me descend de la table à langer et m'entraîne vers la chambre où il déploie un matelas en caoutchouc et m'allonge sur le dos. Les exercices commencent : genoux repliés sur le ventre, écartement maximal des cuisses, jambes tendues, etc.. La culotte en plastique craque à chaque mouvement. Au bout de cinq minutes, Jean-Etienne propose de l'enlever pour que je sois plus à l'aise. Je continue la séance de gym en couche. Au bout d'une heure, il siffle la fin de la partie..

Pas trop fatigué ? Bon, à la douche, tu es tout transpirant.

Arrivés à la salle de bains, il m'enlève les socquettes et défait la couche. Il me pousse sous la douche et me frotte tout le corps avec du gel de douche. Au moment où il me frotte les fesses et la bite, j'ai un début d'érection. Il ferme l'eau, commence à me sécher et m'installe sur la table à langer. Je bande de plus en plus quand il m'essuie la queue et les burnes. Je remarque une bosse sous son short. Il sourit, complice, en refermant la couche après m'avoir soigneusement talqué.

Il faut rester calme dit-il...

Me revoilà en couche et en culotte plastique. Il me propose un biberon d'eau que j'accepte. Je passe la fin de la matinée à surfer sur le net. Vers midi, il entre dans ma chambre. Il a pris une douche, remis son polo à crocodile et ses baskets.

C'est l'heure, me dit-il en souriant.

Celle de changer ma couche mouillée et de déjeuner. Il a préparé un plat de poisson et de riz, un biberon et un petit pot. Je teste sa résistance en faisant semblant de refuser la cuillère de poisson. Mais il résiste à tout et son sourire ravageur me fait craquer. Quand j'ai fini, il m'amène à la chambre pour la sieste. Après m'avoir mis la sucette à la bouche, il me dit Dors bien, et me fait un bisous sur le front..

Lorsqu'il vient me chercher pour le biberon de 4 heures, je suce mon pouce. Il me sourit, me prend dans ses bras, change ma couche sale et mouillée. Le biberon est accompagné de ses biscuits au chocolat. A la fin, il me dit :

Et si on jouait au carte !

Il me remet la culotte en plastique et on s'assoit parterre. Pendant tout le jeu, il parle, m'interroge sur ce que je fais, le lycée, mes copains, mon père.. Il veut me faire parler pour comprendre mon problème. J'essaie d'en dire le moins possible. Avant le dîner, il change à nouveau ma couche mouillée. Après, j'ai le droit de regarder une heure la télévision. Il me change à nouveau et avant de me coucher, il me fait faire 10 minutes de gymnastique. Dans mon lit, je me repasse le film de la journée. Je ne compte pas le nombre de change mais je ressens la douceur avec laquelle Jean-Etienne me lange.. Ces deux mois de vacances vont être super ! !

La semaine se passe à peu près comme cette première journée. La suite des vacances doit se dérouler dans la résidence secondaire de mon père dans le sud-ouest. C'est une belle villa, pas loin de la mer, avec une grande piscine et un jardin. Mon père est parti deux jours plus tôt. Je fait le voyage en train - 3 h 45 mn - avec Jean-Etienne. Avant le départ, il me mets une couche, dissimulée sous un pantalon de jogging. Bien sur, pendant le trajet, je la mouille. Il n'aime pas que je reste humide. Aussi, nous allons discrètement dans les toilettes. C'est la première fois qu'il me change debout. Accroupi devant moi, sa bouche est juste à la hauteur de ma queue. Je commence à bander et je vois bien qu'il essaye de se reculer. A cause de mon érection, il a du mal à refermer la couche.. Il ne dit rien mais je sens qu'il regrette. Hélas pour moi, mon père peut avoir confiance en lui.

Chapitre 4 : Un deuxième baby-sitter

Le lendemain de notre arrivée, à mon réveil, Jean Etienne est habillé d'un t-shirt moulant blanc et d'un pantacourt et il a des tongs aux pieds. Il est plus sexy que jamais. Après le change, le biberon et la toilette, il me propose de faire la séance de gymnastique quotidienne dans le jardin. Pour plus de discrétion, il me mets un short de sport par dessus la couche. Au bout d'un quart d'heure, il me dit que cette tenue n'est pas très pratique. Rapidement, il enlève short et couche et me met un short-slip. Après la sieste et au moment de change, il me dit :

Et si tu nageais un peu. Il te faut de l'entraînement avant la rentrée.

Comme j'acquiesce, il ne me remets pas de couche mais un maillot de bain.

Pendant que je nage, je vois Jean-Etienne me regardant et me suivant en train de faire mes longueurs à la manière d'un maître-nageur. Après 4 ou 5 allers-retours, il me crie :

Et si on faisait du volley-piscine ?

Sans attendre ma réponse, il enlève son t-shirt, ses tongs et son short, laissant apparaître un maillot de bain rouge rayé bleu, mettant en valeur son volumineux paquet. Il se jette à l'eau avec mon ballon. Jean-Etienne maîtrise complètement le jeu. Il envoie la balle sur moi quand il le veut ou plus loin pour que j'aille la chercher à la nage.. Il arrête le jeu pour le biberon de 4 heures qu'il me donne assis sur un transat. Il est accroupi à coté de moi et me regarde tendrement pendant que je téte. Après une rapide douche, il me remets une couche et un short et va lui-même prendre une douche. Il revient en short de sport, t-shirt blanc et baskets. Je mouille assez rapidement ma couche. Il me change et alors qu'il s'apprête à me mettre une culotte en plastique, il me dit :

Et si on faisait une partie de foot dans le jardin ? ? ?

Abandonnant la culotte, il me remet le short, m'enfile des chaussettes de sport et ramène mes baskets. Rapidement, Jean-Etienne marque deux buts, le ballon passant entre les deux pierres symbolisant mes poteaux.

C'est parce que tu as du mal à courir ! dit-il.

De nouveau, je me retrouve sans couche et en short slip.

Le programme des jours suivants est le même. Je remarque que la partie de volley-piscine a tendance à s'allonger, de sorte que le biberon de 4 heures devient celui de 5 h. Mes moments sans couche sont de plus en plus longs, trop à mon goût. Un jour où 5 heures est passé, je mouille mon maillot de bains. A la sortie de la piscine, Jean-Etienne s'aperçoit de l'accident. Sans rien dire, il m'entoure la taille d'une serviette et m'entraîne vers la salle de bains. Sur la table à langer, il m'enlève le maillot mouillé et, tout en me nettoyant avec un lingette les fesses, l'entrejambe et la queue, il me dit :

Ce n'est pas grave, c'est parce qu'on est resté trop longtemps dans l'eau. Je m'amuse tellement avec toi que je ne vois pas le temps passer.

Il me fait prendre une douche rapide et me met une couche après m'avoir talqué.

Reste là ! me dit-il

Il enlève son maillot et entre sous la douche. A travers le rideau, je le vois se savonner le corps en apportant un soin particulier à ses parties. C'est alors que le savon lui échappe des mains et se retrouve au fond de la douche. Instinctivement, je me précipite pour le ramasser et le lui tendre. Au moment où je me tourne pour lui donner, ma bouche est à un centimètre de sa queue qui est longue et d'un beau volume. Les gouttes d'eau qui perlent sur son visage et son corps le rendent hyper sexy.

Merci ! dit-il en repoussant ma tête hors de la douche.. De retour sur la table à langer, je sens le début d'une érection. L'eau de la douche s'arrête de couler. Jean-Etienne se sèche et sort de la douche avec sa serviette autour de la taille. Je bande de plus en plus et j'ai mal dans ma couche serrée.

On dirait que tu es à l'étroit ! dit-il en souriant alors que je vois un gonflement sous sa serviette. Il dégrafe la couche et l'ouvre. Aussitôt, ma queue se dresse et une giclée de sperme atterrit sur le torse velu de Jean-Etienne.

Eh, le bébé évolue bien dit-il en prenant un mouchoir d'une main et en commençant à se caresser de l'autre.

Je bande toujours. Jean-Etienne enlève sa serviette, se penche, approche sa bouche de ma bite et commence à me sucer tout en se branlant. C'est ma première fellation et c'est délicieux. Je suis près de jouir. Jean-Etienne se retire et se recule pour mieux se branler. En érection, sa queue est énorme. Pour m'achever, il me branle en se penchant en arrière pour orienter son dard vers le plafond. On jouit en même temps et nos spermes mêlés retombent sur la couche ouverte. On reste ainsi quelques minutes sans rien dire mais en échangeant des regards terriblement complices. Jean-Etienne me met une couche propre, une culotte et un t-shirt. Il finit de se sécher et se rhabille avec un polo et son pantacourt qu'il porte sans slip et ses belles baskets rouges. A ce moment-là, son téléphone mobile sonne.

Oui dit-il en se retournant pour que je n'entende pas.

......

D'accord, on se retrouve au Flag (un bar gay) mais pas avant 22 h ....

Parce que je dois mettre au lit le garçon dont je m'occupe.

....

Mais non idiot, pas dans mon lit...

Et il referme son téléphone.

C'est ton copain ?

Oui, dit-il en rougissant un peu. Tu sais, c'est ma soirée libre aujourd'hui.

Je sais, je te promets d'être sage pour que tu sois tranquille.

Le lendemain matin, lorsqu'il entre dans la chambre, Jean-Etienne n'est ni coiffé, ni rasé, il est en short, t-shirt et tongs. Il a l'air épuisé et heureux à la fois.

Bonjour ! me dit-il. Tu as bien dormi ?

Oui, toi non apparemment. Tu es rentré tard ?

Eh oui, non, en fait, je viens juste d'arriver.

Tu t'es bien amusé ?

Oui, merci, viens !

Il me sort difficilement du lit pour m'amener sur la table à langer. Pendant qu'il me change, je ne peux m'empêcher de lui demander :

Tu as passé une bonne soirée avec ton copain, Oui, le Flag c'est très sympa.. On y a retrouvé des potes qui sont au même camping que mon copain.

Je ne parle pas du Flag....

Il rougit un peu Oui, c'est toujours bien avec lui.

Dis, c'est toi qui le baise ou c'est lui qui te prend ?

Petit curieux dit-il en versant du talc autour de mes parties. Mais si tu veux savoir, on est auto-reverse tous les deux, on alterne..

Et cette nuit, qui a baisé l'autre ? ?

Juste à ce moment, il m'essuie l'anus avec une lingette....Tout rouge mais souriant :

On a alterné.. plusieurs fois ! ! !

Pendant le biberon, je lui dis :

Jean-Etienne, je voudrais aller à la plage cet après-midi..

Eh dit-il, il faut que j'en parle à ton père..

Après le change post biberon, la toilette et la séance quotidienne de gym et après sa douche, Jean-Etienne va voir mon père.

Vous savez, Jean-Etienne, je ne voudrais pas qu'Eric soit vu dans cette situation. Nous sommes connus ici..

Je comprends, monsieur, mais Eric fait de grand progrès. Il peut rester plus de 3 heures sans couche. Si nous partons après sa sieste, pendant laquelle il mouille sa couche, il peut être en maillot de bains jusque vers 18 h 00 - 18 h 30 sans problème. Je pense que cela lui ferait du bien de voir des jeunes bouger et s'amuser sans entrave et cela pourrait agir comme une sorte de sursaut psychologique.

Bon, si vous le dites. Je vous emmènerai.

Après la sieste, Jean-Etienne enlève ma couche mouillée et sale et me mets un maillot slip. Arrivé à la plage, il m'installe sur un transat, sous un parasol. Au bout de 5 minutes, je lui demande si je peux aller me baigner.

Oui, mais reste au bord et pas trop longtemps !

Pendant un bon quart d'heure je reste nager et me faire porter par les vagues. A mon retour, Jean-Etienne me sèche et, comme il fait chaud, me donne un petit biberon d'eau. Il est très sexy avec son maillot short blanc à rayures bleues.. Comme je l'avais programmé, le biberon d'eau me fait de l'effet et je ne tarde à mouiller mon maillot. Je fais signe à Jean Etienne qui remarque l'auréole sur le devant.

Oh non ! dit-il, décontenancé comme si tous ses efforts - gymnastique, volley-piscine etc.. - étaient réduits à néant. Je téléphone à ton père pour qu'il vienne nous chercher dit-il en saisissant son téléphone.

Non, ne fais pas cela. Tu sais, c'est juste un accident à cause des vagues et de l'eau qui est un peu froide. En plus, il dira que c'est de ta faute et je ne veux pas qu'il t'embête ! !

Jean-Etienne hésite, puis repose son téléphone. S'occuper de moi pendant les vacances est un stage qui compte pour l'obtention de son diplôme et une mauvaise note peut le faire échouer..

Bon, dit-il.

A l'abri du parasol, il enlève mon maillot et me met une couche.

  • Voilà, tu peux te mouiller ou te salir. A 6 h, je te changerai ou plutôt, j'enlèverai ta couche pour mettre ton maillot de rechange.. En attendant, tu ne bouges pas me dit-il en recouvrant ma taille d'une serviette de plage.

Il s'allonge sur son transat et prends un livre dans son sac. " L'infantilisme chez les a d o l e s c e n t s : les mécanismes de la régression ". Il ne faut pas longtemps à Jean-Etienne, fatigué par sa nuit de baise, pour laisser tomber son livre et fermer les yeux. Quelques instants plus tard, sa respiration est régulière : il dort. Je vais enfin réaliser l'objectif de cette sortie à la plage. Doucement, j'enlève ma serviette et me lève pour aller au bord de l'eau. Pendant au moins 10 minutes, je cours de long en large en faisant la roue, simplement vêtu de ma couche. Je sens le regard étonné des gens, j'entend les ricanements des gamins et les moqueries des plus grands. C'est génial.

Je retourne à mon transat. Jean-Etienne dort toujours. Il ne s'est aperçu de rien. A son réveil, il me donne le biberon de 4 heures et un peu avant 6 heures, il me dit :

Ton père ne va pas tarder !

En ouvrant la couche, il constate, en souriant, qu'elle est propre et sèche Tu vois, lui dis-je, c'était juste un accident.

L'air satisfait, il m'enfile mon maillot short. Mon père arrive un quart d'heure plus tard. Tout s'est bien passé ? demanda-til Oui monsieur, répondit sur de lui Jean-Etienne. Mais, il est un peu plus de 6 heures. Eric a pris un biberon à 4 heures et pour le retour, il serait plus prudent de le mettre en sécurité. Mon père acquiesce de la tête. Jean-Etienne installe une serviette de plage sur la banquette arrière de la voiture et m'enlève le maillot qu'il remplace par une couche par dessus laquelle il met un short. Pour conforter Jean-Etienne, pendant le trajet, je mouille et salis convenablement ma couche. A l'arrivée, celui-ci tâte la couche sur le devant et le derrière et constate la réalité.

C'est exactement ce que j'avais prévu dit-il à mon père. Et il me prend la main pour m'entraîner vers la table à langer.

Jusqu'à la fin des vacances, le rythme de mes journées se passe entre couches, biberons, gymnastique, jeu de piscine ou plage l'après-midi. Régulièrement, après la douche suivant les séances de gym, Jean-Etienne me fait une petite gâterie en se branlant, sacrifiant ainsi une couche. Une fois par semaine, il a une soirée de libre ou plutôt une nuit car il revient le matin, totalement épuisé par une nuit torride de baise.

Un jour, Jean-Etienne obtient de mon père la permission de m'amener dans la petite ville côtière à quelques kilomètres de la maison. Par crainte d'un accident, il me met une couche et par dessus, un bermuda ample pour ne pas attirer l'attention.. Au cours de la promenade, nous rencontrons, par un hasard que je soupçonne d'avoir été bien calculé, le copain de Jean-Etienne. Grand, châtain, des yeux verts, musclé et bronzé, âgé de 24 ou 25 ans, Nicolas est aussi un très beau mec. Nous allons tous les trois boire un verre au Flag qui, la journée est un bar classique avec une terrasse. Son orientation gay est signalée par un discret drapeau Rainbow, une clientèle essentiellement masculine et des serveurs qui, avec leur débardeurs rouges et leurs shorts flottants sont très excitants. Nicolas est très gentil aussi et son bermuda moulant laisse deviner que, question paquet, il n'a rien à envier à Jean-Etienne. On reste un long moment à discuter et à mater. Bien sur, ce qui devait arriver arrive, à f o rc e de boire des verres de menthe à l'eau, je mouille ma couche. Vers 4 heures, Jean Etienne dit à Nicolas, On va y aller pour Eric Nicolas qui n'a pas compris de quoi il s'agit prend un air interrogatif.

Jean-Etienne indique du regard à son copain mon entrejambe et en se penchant vers lui, murmure :

Il faut que je change sa couche..

Ah, dit Nicolas en réprimant un petit sourire, allez au fond du bar, à cette heure-là il n'y a personne en principe.

Non dit Jean-Etienne, ce n'est pas.... possible Pourquoi, dis-je Parce que,...commence Jean-Etienne, ... C'est un endroit réservé au plus de 18 ans poursuit Nicolas en souriant Alors, on va au camping sous ta tente dit Jean-Etienne, c'est à 5 minutes.

Le camping gay est effectivement tout près. Autour de la piscine, il y a beaucoup de mecs en train de bronzer, tandis que d'autres, près de leur tente lisent, jouent aux échecs ou se livrent à des jeux câlins - coquins. Celle de Nicolas - qui est assez grande - est au milieu d'un petit carré, un peu à l'écart du centre. Il y a deux lits de camp. Jean-Etienne met une serviette sur l'un des deux et m'allonge dessus. Au moment où il sort la couche propre, le talc et les lingettes de son sac à dos, Nicolas dit :

Jean-Etienne, tu me laisses le changer ?

Ben, quelle drôle d'idée, tu ne sais pas...

Rappelle-toi que pendant l'année universitaire, j'ai fait du baby-sitting.

Ah oui, le gamin de 3 ans que tu allais chercher à l'école maternelle et que tu gardais le mercredi l'après-midi. Il ne portait plus de couche depuis longtemps.

D'abord, au début, il avait 2 ans, il était à la crèche et il n'était pas propre. Il fallait bien que je m'en débrouille. Ensuite, j'ai gardé plusieurs fois des bébés de quelques mois.

Ah bon, dit Jean-Etienne, l'air étonné.

Alors, les couches, ça me connaît. Grand ou petit, un bébé est un bébé. En plus Eric ne pleure pas.

Allongé sur le lit de camp, j'écoute avec étonnement leur conversation. J'imagine mal Nicolas en train de changer une couche, donner le biberon et bercer un bébé mais l'idée d'être changé par un autre beau mek commence à m'exciter. Jean-Etienne tâte ma couche.

Bon, c'est seulement mouillé. Si Eric est d'accord...

Je fais oui de la tête. Nicolas sourit. Pour être plus à l'aise, il enlève son débardeur et son bermuda, se retrouvant en maillot de bains, révélant ainsi un torse puissant, musclé et bronzé, augmentant mon érection. Il s'accroupit pour être à la hauteur du lit de camp. Il enlève mes tongs, relève mon t-shirt et défait mon bermuda. Il fait sauter les boutons pressions de ma culotte et commence - avec des gestes assurés - à défaire et à enrouler la couche. Je le regarde et j'ai l'impression que son maillot gonfle. Dès que la couche est ouverte, ma bite se dresse, tel un diable sortant de sa boite.

Ah, fit Nicolas, Eh dit Jean-Etienne en riant, petit ou grand, c'est pas tout à fait pareil.

Nicolas, l'air un peu perdu regarde Jean-Etienne qui a aussi retiré son t-shirt et son bermuda, se retrouvant également en maillot de bains qui commence à gonfler aussi.

Continue dit-il, fais vite avant qu'il se mouille à nouveau.

Ah oui, dit Nicolas en tirant une lingette et commençant à me nettoyer les fesses, l'entrejambe, les couilles et la bite, ce qui accentue mon érection.

Avant de prendre une deuxième lingette, Nicolas se redresse pour enlever son maillot qui le serre trop faisant apparaître une queue raide, épaisse et longue. Il s'accroupit à nouveau mais au lieu de me nettoyer avec une lingette, il entreprend de me branler d'une main et de se masturber de l'autre. Au même moment, je vois Jean-Etienne enlever son maillot de bains, révélant aussi une belle érection. Il met la main dans le sac de Nicolas d'où il sort deux capotes dont il déchire le sachet. Il en donne une à Nicolas qui l'enfile sur ma bite, tandis qu'il met la deuxième autour de son dard. Debout, penché sur moi, Nicolas me suce, tandis que Jean-Etienne, après avoir enduit sa capote de gel, commence à pénétrer Nicolas.. On pousse tous les trois des gémissements de plaisir. Jean-Etienne défonce Nicolas qui est en extase. Cette baisse dure un bon moment. Jean-Etienne pousse un cri de jouissance, suivi de Nicolas qui éjacule sur ma couche ouverte et de moi qui me fait plaisir dans la capote. Jean-Etienne se retire, Nicolas se redresse. Je reste allongé. On se regarde, l'air content tous les trois.

Bon, dit Nicolas en s'entourant la taille d'une serviette de plage, je vais prendre une douche.

Ah, non dit Jean-Etienne en souriant, tu dois terminer ton travail. Tu ne peux pas laisser Eric sur sa couche mouillée et... souillée.

Nicolas sourit à son tour. Il s'accroupit à nouveau et retire la capote, pleine de sperme, de ma bite, désormais au repos et me la nettoie ainsi que mes couilles avec une lingette, me talque les fesses qu'il enduit d'une crème anti irritation. Il me soulève les fesses pour retirer la couche - qu'il enroule consciencieusement - avant de glisser la couche propre et de la refermer avec une dextérité certaine.

Tu vois dit-il en regardant Jean-Etienne et en prenant ma culotte en plastique, j'ai de l'expérience.

En effet, dit Jean-Etienne, tu pourrais me remplacer. Bon, ne lui met pas la culotte, elle est légèrement humide et il fait chaud.

Nicolas se relève. Je remarque qu'il a déjà à nouveau un début d'érection, de même que Jean-Etienne. Celui-ci m'aide à me relever du lit de camp. Je suis en t-shirt et en couche en face des deux mecs nus en train de bander. Jean-Etienne prend dans sa main la bite de Nicolas.

Tu peux nous attendre un moment dehors dit-il en m'aidant à mettre mon bermuda. Ce ne sera pas long.

Je met mes tongs et sors de la tente. A travers la toile pas très épaisse, je vois Nicolas et Jean-Etienne s'embrasser voluptueusement tout en se caressant mutuellement, puis Nicolas retourne Jean-Etienne, le serre contre lui tout en l'embrassant dans le cou. Il s'interrompt pour prendre un capote dont il enveloppe sa queue et qu'il enduit de gel. Il s'allongent tous les deux à même le sol de la tente et Nicolas pénètre Jean-Etienne qui pousse des gémissements tout en se branlant. Nicolas le baise avec fougue. J'ai l'impression que leurs râles s'entendent dans tout le camping. Nicolas décharge dans Jean-Etienne qui envoie une énorme giclée de sperme sur le sol. Nicolas se retire, ils restent un moment l'un contre l'autre. Puis, Jean-Etienne sort de l'étreinte de Nicolas et se relève. Ce spectacle m'a donné une nouvelle trique, douloureuse dans ma couche.

Il faut que j'y aille. Le père d'Eric va se demander où on est. En plus Eric n'a pas eu son biberon.

On va à la douche vite !

Non dit Jean-Etienne en faisant une caresse à Nicolas, il est préférable qu'on y aille séparément, sinon on risque de rester longtemps..

Nicolas sourit.

Tu as raison !

Pendant que j'y vais, tu peux surveiller Eric. Et, même lui donner son biberon, vu que t'es un super baby-sitter dit Jean-Etienne en sortant de son sac à dos le thermo contenant mon biberon.

Jean-Etienne sort de la tente avec une serviette autour de la taille et les tongs de Nicolas aux pieds.

Ca va, Eric ? Je vais prendre une douche, va sous la tente, Nicolas va te donner ton biberon.

J'entre dans la tente. Nicolas a aussi mis une serviette autour de sa taille. Il est assis au bord d'un lit de camp, le biberon à la main.

Viens dit-il en souriant gentiment.

Je m'assois par terre, penché en arrière pour recevoir la tétée, appuyé sur la cuisse puissante de Nicolas. En bougeant les yeux, je vois le début d'une bosse sous sa serviette alors que je suis de plus en plus serré dans ma couche. Ce biberon est vraiment délicieux... Nicolas s'aperçoit de mon problème.

Tu es un bébé plein de vie dit-il, Cela me provoque un début de rire qui a pour conséquence de me faire régurgir du lait qui s'étale sur mon t-shirt et le bras de Nicolas. Juste à ce moment, Jean-Etienne entre dans la tente. Il sent un bon parfum, une eau de toilette de mec.

Ben alors Nicolas, tu étouffes notre bébé !

Il a un petit problème dit Nicolas désignant ma couche tendue.

Bon, je vois dit Jean-Etienne. Je prends le relais pendant que tu vas à la douche.

Jean-Etienne remplace Nicolas et c'est dans la même position que je termine mon biberon.

Nicolas revient.

Cette fois, on y va dit Jean-Etienne en se rhabillant, ignorant ou oubliant mon problème.

Je n'ai pas envie de rentrer ainsi et en plus j'ai une autre idée. Le biberon a un effet instantané. En remettant mon bermuda, Jean-Etienne s'en aperçoit.

Oh, mouillé !, il faut encore le changer.

Il m'allonge sur le lit de camp. A ce moment, je lance un regard à Nicolas.

Je peux le faire si tu veux dit celui-ci..

Jean-Etienne le regarde, étonné.

Encore ?

Ouais, cela me plaît finalement de m'occuper d'un bébé..

Abandonne la médecine pour la puériculture ! !

Jean-Etienne laisse sa place à Nicolas qui effectue ce changement de couche, de manière impeccable et sans extra, l'humidité ayant calmé ma vigueur.

Je t'engage comme assistant dit en rigolant Jean-Etienne.

Nous rentrons tard, vers 19 h. Mon père commence à s'impatienter.

Je suis désolé, s'excuse Jean-Etienne mais il faisait tellement beau qu'on a peu traîné dans le village.

Bon dit mon père. Et pas de... problème pour Eric ? ?

Pas vraiment, il a fait beaucoup de progrès. Quand même, il y a une heure il a fallu s'occuper de lui.

Et alors ?

On est allé à l'hôtel " La Côte bleue " au bar de la piscine et à moment, nous sommes entrés discrètement dans une cabine de rhabillage où je l'ai changé. Ce qui est bien, c'est qu'il était seulement mouillé. Mais maintenant, il doit être sale, dit-il en caressant mes fesses.

Ce n'est pas difficile pour Jean-Etienne de faire ce numéro, vu que tous les soirs avant le dîner, il devait changer ma couche sale. Ce fut la plus belle journée de mes vacances.

Chapitre 5 : Changé par un militaire

Je vois avec angoisse arriver la fin des vacances et le moment de la séparation avec Jean-Etienne. A notre retour, celui-ci fait un rapport au pédopsychiatre dans lequel il décrit mon évolution psychomotrique, mes longues périodes sans couche, " résultant de sensibles progrès sur la réacquisition des mécanismes réflectifs de la maitrise sphinctérienne " Mon père confirme que ces deux mois ont été très positifs.

Je dois reconnaître que j'étais dubitatif au départ mais ce jeune homme est très compétent et de toute confiance. Pourrait-il continuer à s'occuper d'Eric pendant l'année scolaire ?

C'est difficile. Entre ses cours, la rédaction de son mémoire et son stage au centre de jeunes handicapés, il est très chargé.

Ecoutant cette conversation, je pense " Et ses parties de baise avec Nicolas lui prennent pas mal de temps aussi! ".

Finalement, il est convenu que Jean-Etienne s'occupera de moi un week-end sur deux. C'est super. Non seulement, je passerai 4 jours par mois avec lui mais en plus, cela colle avec ma stratégie. J'entre alors en terminale et j'ai bien l'intention de réussir mon bac pour aller à l'université l'année suivante afin d'être autonome et de mener librement ma vie de bébé avec un " pamper " de mon choix. Mais, pour cela, je dois avoir l'air guéri de " ma régression ". Je ne peux pas retrouver d'un seul coup la maîtrise, ce qui paraîtrait suspect. Je décide que ce résultat sera acquis, par étapes, à la fin de l'année scolaire avec la complicité involontaire du beau Jean-Etienne. Je projette de caler mes progrès sur ceux de mon petit neveu, le bébé de ma s?ur qui a alors presque 2 ans et qui logiquement doit être propre au cours de l'année. Les différentes étapes de ses progrès - culotte d'apprentissage, journée sans couche - ainsi que les accidents de parcours - seront les miennes.

En octobre, je suis convoqué aux " 3 jours " en vue du service militaire. Je n'ai aucune envie de faire mon service, surtout que c'était une des dernières conscriptions avant la professionnalisation des armées. Avec mon problème, l'exemption ne doit être qu'une formalité. La première journée commence par la visite médicale. Lorsque j'entre dans la pièce d'examen, je vois, derrière le bureau, un médecin militaire, entouré de 3 jeunes médecins ou infirmiers.

Bien, me dit le gradé, vous êtes Eric P... Déshabillez-vous, ne gardez que les chaussettes et le slip.

J'enlève mon sweat-shirt, mes baskets et enfin mon pantalon. J'aurais aimé pouvoir photographier la tête des 4 militaires quand ils m'ont vu, nu en chaussettes et en couche.

Hein, fit le médecin-chef, qu'est-ce que..

C'est une cou..

Je vois, mais qu'est..

Pour toute réponse, je lui donne une enveloppe, contenant un certificat du pédopsychiatre, expliquant mon " problème ". Après l'avoir lu, il me pose quelques questions sur mes antécédents médicaux et rapidement me dit :

Rhabillez-vous.

Là, je décide de m'amuser un peu.

Oui, euh, c'est que...(faisant semblant d'hésiter), il faudrait que, enfin je dois être changé.

Comment ? ? ?

Oui, dis-je en portant un regard sur ma couche.

Le médecin chef regarde à droite et à gauche, ne sachant comment se sortir de cette situation. Puis, désignant du regard un de ses assistants, il dit :

Aspirant B...., vous vous en chargez.

Le jeune homme - il ne doit pas avoir plus de 25 ans - a le regard de celui qui pense : " Il a fallu que cela tombe sur moi ".

Bien mon capitaine, dit-il d'une voix qui se voulait ferme. Où je..

Allez dans une salle d'examen au premier.

Sans rien dire, l'aspirant fait le tour de la table et me fait signe de le suivre.

Attendez, il ne peut pas sortir dans cette..

Le jeune homme hoche la tête, sort de la pièce, revient quelques instants plus tard avec une grande serviette et me fait signe de m'entourer la taille, de ramasser mes vêtements et mes chaussures. C'est ainsi que je traverse la salle d'attente, sous le regard des dizaines de garçons attendant leur tour pour passer la visite médicale.

Au premier étage, on entre dans une salle d'examen. Je pose la serviette sur le lit d'examen et m'allonge dessus, prêt à être changer.

Ah oui dit-il.

Il enlève sa veste de treillis, laissant apparaître un t-shirt kaki, moulant son torse et mettant en valeur des muscles saillants. Avec ses cheveux rasés, sa peau mate, ce jeune homme " issu de l'immigration " comme disent les journaux est viril et mignon.

Euh bon dit-il en s'approchant..

Il a l'air complément perdu. Soudain, il a une illumination dans le regard, se précipite sur le téléphone posé sur le bureau et compose un numéro.

Allô, maman dit-il en baissant la voix, c'est Karim, il faut que tu m'aides.

....

Voilà dit-il en mettant le haut-parleur, je dois, euh, il faut que je.... change un gar,.. un bébé.

Il avait accéléré sur les derniers mots.

Il faut que quoi ? dit la voix du téléphone, parle plus lentement Karim.

Que je change la couche d'un bébé..

Ah bon, un bébé, à la caserne ! ! ? Vous créez un régiment de nourrissons ? ?

C'est une circonstance exceptionnelle. Je t'expliquerai plus tard. Dis-moi comment on fait..

Où est le bébé ?

Sur une table d'examen..

Tiens le bien pour qu'il ne tombe pas. Il pleure ?

Euh, non, Quel âge a-til ?

Dix n..euh, je ne sais pas.

Combien mesure-t-il ?

J'en sais rien..

Il fait plus de 50 cm ?

Ah oui, sûrement..

Bon, il doit avoir au moins un an. Il a mouillé ou sali sa couche ?

Quoi ?

Je te demande si le bébé est mouillé ou s'il a fait....

Je ne sais pas.

Vérifie Comment ?

C'est un garçon ou une fille ?

Un garçon !

Déshabille-le et caresse sa couche sur le devant et le derrière, tu verras si c'est humide seulement ou sale.

Karim s'approche de moi, me passa la main devant et, me soulevant les fesses, derrière.

Je crois qu'il est seulement mouillé.

As-tu une couche propre ?

Karim ouvre de grands yeux. Je lui fais signe d'ouvrir mon sac à dos, d'où il sort une couche.

Oui, j'en ai une.

Bon, ouvre sa couche mouillée en détachant les scratchs, tu sais les petits élastiques sur le coté, comme dans les pubs à la télé.

Si tu crois que je regarde ces pubs.. Bon, j'ai vu.

Karim ouvre ma couche et prend un air dégoûté...

Ca y est ! !

Maintenant, roule-la vers l'intérieur et soulève les fesses du bébé pour la retirer..

Karim commença la man?uvre et soudain se met à crier Ah, il n'a pas seulement mouillé.. Il a aussi....

Ce n'est pas grave Karim, as tu un gant ou un serviette humide ? ?

Oui, Bon, tiens le bébé et enroule la couche.

Oui, ....

Karim est suffisamment fort pour me tenir soulevé d'une main et rouler la couche.

Ca y est..

Bon, avec le gant, nettoie lui les fesses. Quand tu as enlevé le plus gros, prends des mouchoirs si tu n'as pas de lingette.

Karim s'exécute en gardant son air dégoûté... Il prend plusieurs mouchoirs pour me laver.

Tu en es où, dit la voix du téléphone, Aux mouchoirs Vérifie que ces petites fesses et son ...soient propres..

Karim met son nez sous mes fesses.

Là, c'est propre.

Avec un autre mouchoir, lave lui l'entrejambe et n'oublie pas son petit zizi

Petit zizi ! je suis justement en train de bander et à travers mes jambes écartées, je vois une bosse se former sous le pantalon de treillis de Karim qui met une certaine conscience à cet aspect de l'opération de change.

Et n'oublies pas non plus ses petites c..

Karim me soulève la bite, ce qui " aggrave " mon érection et m'essuie les burnes. La bosse de son treillis grossit au point de le gêner. Il dégrafe sa ceinture et les boutons de sa braguette. Sa queue sort de son caleçon, toute raide.

Ca y est ? Il est propre ?

Oui, oui A-t-il les fesses rouges ?

Karim me regarde.

Un peu.

As-tu du talc et une pommade ?

Je désigne à nouveau mon sac. Karim farfouille et en sort les tubes.

Mets lui de la pommade sur les fesses et talque le.

Oui, Maintenant, mets la couche propre sous ses fesses et dans le bon sens.

Ca y est, Referme avec les petits scratchs..

Je bande tellement qu'il ne peut pas refermer la couche.

Je n'y arrive pas, dit-il en esquissant pour la première fois un sourire.

C'est parce que tu as mis la couche à l'envers.

Ah oui, c'est ça, merci maman, dit-il en se retenant de rire. Je te rappelle plus tard.

Il raccroche et revient vers moi et commence à me sucer tout en se branlant. Sa belle queue est volumineuse. Il l'approche de mon cul. J'ai très envie qu'il me prenne et me défonce.

  • Kpote ? ?

Il fait signe que non.

Malgré mon désir, je refuse. Il comprend, me suce à nouveau, se retire, nous jouissons en même temps, notre sperme mêlé retombant sur la couche propre ouverte.

Il faut que tu me changes à nouveau...

Hein..

Je lui montre la couche souillée.

Rappelle ta mère !

Il sourit, prend une nouvelle couche dans mon sac et me la met prestement.

Eh, tu es un expert maintenant...

Evidemment, je fus exempté de service militaire pour " trouble physiologique incompatible avec la vie en collectivité ". Pourtant, j'imaginais bien être changé et biberonné par tous les copains de chambrée..

Chapitre 6 : Enfin libre

J'ai donc la possibilité de mettre en oeuvre mon plan de " sortie de régression ". Dès le mois de novembre, je commence à porter des culottes d'apprentissage pendant la journée, je ne mouille plus ma couche pendant le change de la toilette du matin. Bien sur, pour faire plus vrai, j'ai des petits accidents. Je prend soin de faire des progrès après les week-ends avec Jean-Etienne afin qu'il soit bien noté. Souvent, le dimanche, sous prétexte de me faire prendre l'air, on va retrouver Nicolas dans le studio qu'ils partagent. Nicolas était toujours volontaire pour me changer, " pour m'entraîner parce que je garde un bébé la semaine prochaine " dit-il.. Evidemment, ce changement de couche se transforme en partie à trois comme au camping.

A partir de février, je ne porte plus de couche pendant la journée, même pour aller au lycée, le matin et l'après-midi.. Cela me fait drôle de me retrouver en slip ou en caleçon. Mon père, le psychomotricien et Jean-Etienne sont très contents mais moi, je souffre.. Un bébé sans couche, ce n'est pas possible.. Quand je suis trop mal, je provoque un accident au retour du lycée. Du coup, j'ai une culotte d'apprentissage jusqu'à la fin de la journée. Ce n'est pas aussi bien qu'une vraie couche mais c'est mieux que rien. Après le dîner, je suis en mis en couche pour la nuit. Parallèlement, je refuse de plus en plus le biberon, les petits pots et les aliments pour bébé. Cela aussi est dur. Heureusement, la nuit en couche m'apporte un peu de calme et le change du matin est un vrai plaisir, surtout quand Jean-Etienne officie.

Je programme une première période de propreté nocturne pour Pâques. Si tu avais vu l'ambiance à la maison, le matin où le psychomotricien a découvert que ma couche était immaculée.. Ils se concertent avec mon père pour déterminer si la guérison est acquise et appellent en renfort le pédopsychiatre. Celui-ci tente de faire le rapprochement avec mon petit neveu. Renseignement pris auprès de ma s?ur : non, le bébé a toujours besoin de couche la nuit. Le pédopsychiatre en conclut que mon cas est dissocié de celui du petit. Il suggère de tester ma reconquête en me mettant des culottes d'apprentissage la nuit. Pendant une semaine, le psychomotricien constate chaque matin ma propreté.

Le psychiatre, le psychomotricien, Jean-Etienne et mon père, formant une sorte de conseil de famille décident de supprimer la couche de nuit. Cette première nuit sans couche est horrible. Je me sens mal dans mon slip. Mais je résiste. La découverte de ma propreté le matin provoque une joie immense. Cette situation dure dix jours. Mais, je ne veux pas que ma guérison apparaisse trop miraculeuse. La 11e nuit, je mouille copieusement mon slip et les draps. A l'arrivée du psycho-motricien, je fais semblant de pleurer de honte. Appelé en urgence, le pédopsychiatre conclut que ma honte signifie que je suis psychologiquement guéri mais que je n'ai pas physiologiquement récupéré à 100% les réflexes de la maitrise. " C'est juste un accident. Ne lui remettez pas de couche, sinon, il perdra les acquis.. Quelques séances de gymnastique et le problème devrait être réglé ". Pour mon plus grand bonheur, cette mission est confiée à Jean-Etienne qui vient tous les soirs pour la séance de gymnastique. Je suis allongé sur le dos en short. Lorsqu'il m'écarte les jambes, je bande et j'aperçois sa queue dépassant de son short.. Souvent, sur le matelas, on se fait un 69...

Après un mois sans accident diurne et nocturne et une consultation chez le pédopsychiatre, je suis déclaré guéri. On est à trois semaines du bac que j'obtiens avec mention TB. J'ai donc mon visa pour l'université et la liberté. Je refuse d'aller en vacances dans la maison du sud-ouest, prétextant la nécessité de préparer la rentrée et d'installer cet appartement. Bien sur, la première chose que j'achète est ... un paquet de couches. Et ma première nuit en couche et sucette est délicieuse. Mais, il me manque quelque chose ou plutôt quelqu'un pour " pampériser " le bébé que je suis. Je cherche en naviguant sur les sites Internet. Je retrouve même Karim. Il est avec un lieutenant dont il est baby-sitter et le mec part en manoeuvre en couche. Mais, je ne rencontre pas le " pamper " de mes rêves...

Voilà, tu connais mon histoire me dit Eric.

Chapitre 7 : Le bonheur est dans la couche

Je reste sans voix..

Bon, reprend-t-il, je me sens bien avec toi. Veux-tu être mon pamper ?

Au fil de son récit, j'avais deviné où il voulait en venir. Mais, lorsqu'il pose sa question, je reste silencieux, comme hébété. Je ne me sens pas l'âme d'un " pamper ". Je veux un ami, un compagnon, un amant, pas un bébé. D'un autre coté, l'histoire d'Eric est touchante, il est mignon et attachant. J'en suis là de mes réflexions lorsque je le vois sortir de la chambre et revenir 3 minutes plus tard.

Tiens, me dit-il, c'est l'heure de mon biberon.

Et il me colle entre les mains un biberon chaud et se met entre mes jambes. Machinalement, - faut-il parler d'instinct paternel ou de souvenir de mes baby-sitting d'étudiant ? - je lui mets la tétine dans la bouche. Il tête goulûment, l'air heureux. Moi, je ne sais qui je suis, ni où je suis.... Il termine rapidement son biberon.

C'était bon dit-il. Maintenant, il faut que tu me changes...

Je le regarde les yeux écarquillés.

Ben oui, depuis le temps qu'on parle et le biberon. Je suis mouillé dit-il en s'allongeant sur la table à langer.

Je ne sais pas, je...

Je vais te guider, tu vas y arriver comme Karim..

De fait, en me remémorant le récit du changement de couche par le jeune aspirant, je parviens à changer Eric - défaire sa couche mouillée, essuyer ses fesses, le talquer et le pommader et lui mettre une couche propre - presque naturellement...

Eh, pour une première, c'est pas mal, tu es très doux.

Il insiste pour que je dorme avec lui et le lendemain - c'est un samedi - je reste à m'occuper de lui en commençant par changer sa couche sale et mouillée de la nuit, lui donner le biberon et lui faire sa toilette. Au déjeuner, je lui donne un petit pot et au moment du change après le sieste, il est en érection à un tel point qu'il est impossible de refermer sa couche. Je lui fais une fellation tout en me branlant. Ce n'est qu'après son éjaculation que je peux refermer sa couche. Pour cette première journée de baby-sitting je le change cinq fois.

Tu es un parfait pamper dit-il satisfait.

C'est ainsi que je commence une relation avec ce drôle de bébé. Je passe beaucoup de temps avec lui. J'apprends à m'en occuper et surtout à aimer m'en occuper. Changer ses couches, l'habiller, lui donner le biberon est devenu un plaisir et notre relation amoureuse en était re n f or c é e . Quelques mois plus tard, il vient s'installer chez moi. Une pièce qui sert de bureau est transformée en chambre de bébé : tapisserie bleue, lit à barreaux, table à langer, parc, etc.. Quand il va à l'université, il garde la même couche pendant les cours et je le change à mon retour du travail, ce qui est un vrai bonheur.

L'an dernier, nous sommes partis en vacances sur une île grecque. A l'aéroport, le portique de détection des métaux se mit à sonner bruyamment au passage d'Eric. Il vida ses poches - clé, monnaie, montre etc.. - mais le portique sonna à nouveau. L'agent de la PAF nous entraîna dans un bureau isolé.

Je suis désolé dit-il mais je dois demander à ce jeune homme de se déshabiller pour procéder à une fouille au corps.

L'agent, une trentaine d'année, grand châtain aux yeux clairs, n'avait pas l'air ennuyé de devoir palper Eric... Il lui enleva son t-shirt, ses baskets, ses chaussettes et son pantacourt. La tête de l'agent et des ses collègues quand ils découvrirent la culotte en plastique par dessus la couche enveloppant Eric était aussi à photographier...

Il faut aussi enlever cette, euh, la couche dit-il en regardant ses collègues, soupçonnant qu'une arme de destruction massive était cachée dans les langes d'Eric.

Oui, dis-je en m'efforçant de ne pas rire. Il a un problème qui l'oblige à porter une couche. Là, il est mouillé et c'est sans doute cela qui provoque la sonnerie du portique. Si je le change, cela devrait aller.

Oui, bon allez-y..

Puis-je utiliser ce bur.. cette table.

Ils débarrassèrent rapidement le bureau sur lequel j'installai le matelas à langer. Eric s'y installa. Sous les yeux étonnés et attentifs des agents de la PAF, j'ouvris la couche, effectivement très mouillée et, pour la première fois en public, je commençai à changer Eric qui eut un début d'érection.. Quand j'ai eu fini d'enrouler la couche mouillée, un des agents me la saisit et malgré son état, il entreprit de la découper et de faire des trous avec une paire de ciseaux. Au moment où je sortais la couche propre de mon sac, le jeune homme me fit signe de lui donner et commença à la tâter et à la secouer, laissant Eric allongé nu, en érection sur le bureau. Il me la rendit et je pus terminer de changer Eric qui, ainsi équipé d'une couche propre, se rhabilla et passa sans difficulté le portique de détection.

Excusez-nous, me dit le chef avant de nous laisser partir, mais vous n'avez pas idée de se qu'on trouve dans les couches. Certains passeurs de d r o g u e s voyagent avec des bébés pour pouvoir passer des doses dans les couches. Des petits cutters et des objets de contrebandes y sont également dissimulés également. Les bébés sont ainsi transformés en " mules " et en contrebandiers.

Le premier jour de notre arrivée sur la plage naturiste gay, Eric se promena longuement en couche comme il aime le faire. Il attira l'attention des autres touristes, en particulier de deux jeunes garçons jouant au beach-volley. Le lendemain, nous sommes retournés au même endroit et là, surprise, les deux beach-volleyeurs jouaient en... couche et un jeune homme était allongé sur une serviette avec une couche bien épaisse autour des fesses. Alors que j'étais en train de changer Eric qui avait sali sa couche, j'entendis deux voix derrière moi qui disais :

Oh, quel beau bébé ! !

C'était les beach-volleyeurs.

Eh, moi aussi, je dois être changé dit le plus jeune, un beau blond de 25 ans, en s'allongeant sur le dos les jambes et criant. L'autre, un grand brun de 29 ou 30 ans se précipite sur son sac à dos d'où il sort une couche. Défaisant celle de son copain et constatant les dégâts :

Tu es encore mouillé alors que je t'ai changé il y a même pas une heure. Tu es un vilain bébé dit-il en lui donnant une fessée, faisant rougir ses fesses Hey, nobody for pamper me !

C'était le garçon sur la serviette - un américain de 35 ans - qui avait rejoint notre groupe.

I am Ron. Any body can change my wet diaper ? ?

Aussitôt le blond au fesses rougies et qui n'avait pas encore sa couche propre se proposa.

Yes, I can change you.

L'américain s'allongea sur le sable. Le blond commença à avoir une érection en défaisant la couche qui libéra un sexe dur.

Hey baby, I can't close your diaper..

Le châtain rejoint son copain et ils se relayèrent pour faire une pipe à l'américain tout en se branlant jusqu'à ce que tous les trois jouissent en même temps.

Nous avons passé le reste de nos vacances avec cette bande de joyeux AB/DL, entre couches, biberon, sucette. Le plus âgé des Français - Xavier - était baby-sitter des deux autres et se faisait langer par l'un ou l'autre. L'américain mouillait souvent ses couches et demandait à être changé, le plus souvent parce qu'il bandait et qu'il voulait une fellation. Le matin, nous avions une séance de change collective pour les 3 bébés. Pour ma part, je m'occupais d'Eric - qui refusait que les autres s'occupent de lui - mais j'aidais Xavier à s'occuper des deux autres. Ce furent des vacances drôles et surréalistes.

Epilogue

Quelques temps après notre retour, le 18 septembre exactement, Eric me dit sérieusement :

  • Voilà, demain, cela fera exactement 3 ans que je suis né. J'ai bouclé ma boucle en vivant mes années manquantes de bébé. Il est temps que je reprenne le fil normal de ma vie. A partir de demain, je suis un mec.

J'étais assez étonné mais son raisonnement était cohérent. Il avait vécu sa vie de bébé et ainsi, la pièce manquante de son existence était reconstituée. Le lendemain matin, je lui enlevais pour la dernière fois sa couche mouillée et sale. Il fit disparaître ses vêtements et tout l'équipement de bébé, biberon, table à langer, sucette, couches, etc.. On remisa le lit à barreaux à la cave et la chambre de bébé retrouva sa vocation initiale de bureau.

Pendant plusieurs semaines, le fait de ne plus avoir à m'occuper d'Eric - change, biberon, toilette etc.. - me causa un vide. Plusieurs fois, je suis allé, en cachette, m'occuper de " bébés " comme si cette aventure avec Eric avait réveillé une partie refoulée de moi-même.

Mais la semaine dernière alors que nous étions en train de nous endormir après avoir fait l'amour, Eric me glissa à l'oreille :

  • Je crois que je vais avoir besoin d'une couche cette nuit dit-il en commençant à sucer son pouce..

J'étais heureux : j'avais retrouvé mon bébé Eric....

FIN

Pampering

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